Ce script gratuit est fourni par
Website Abstraction

Brennus :

"Malheur aux vaincus"

Pyrrhus :

"Encore une victoire comme celle-là et nous sommes perdus"

César :

"La femme de César doit être au-dessus de tout soupçon"

"Alea jacta est"

"Toi aussi, mon fils..."

Ponce Pilate :

"Je ne suis pas responsable de ce sang"

Jesus-Christ :

"Il faut rendre à César ce qui appartient à César"

Néron :

"Quel artiste va périr avec moi !"

Vespasien :

"L'argent n'a pas d'odeur"

Clovis :

"Souviens-toi du vase de Soissons"

Saint-Rémy :

"Courbe la tête, fier Sicambre"

Aliénor d'Aquitaine :

"J'ai parfois l'impression d'avoir épousé un moine"

Simon :

"Dors-tu, Capet ?"

Adalbert de Périgord :

"Hugues, qui t'a fait roi ?"

Amalric :

"Tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens"

Saint-Louis :

"Si je vous suis à charge, débarrassez-vous de moi ; mais je ne me débarrasserai jamais de mon peuple !"

Eudes de Chateauroux :

"La France est le four où cuit le pain intellectuel du monde entier"

Boniface VIII :

"Voilà mon cou, voilà ma tête ; je mourrai, mais je mourrai pape"

Molay :

"Maudits ! Maudits ! Tous maudits jusqu'à la treizième génération de vos races !"

Gaucher :

"La France est trop noble royaume pour tomber en quenouille et être remis à femelle"

Philippe VI :

"Qui m'aime me suive"

"Ouvrez, ouvrez, chatelain ! C'est l'infortuné roi de France"

Philippe le Hardi :

"Père, gardez-vous à droite ! Père, gardez-vous à gauche !"

Edouard III :

"Honni soit qui mal y pense"

"Ma volonté est telle que tous y mourront"

Jacques Coeur :

"A coeur vaillant, rien d'impossible"

Charles, duc de Bourgogne :

"Par Saint-Georges ! Mes enfants, vous avez fait une jolie boucherie"

Richard III :

"Un cheval ! Mon royaume pour un cheval !"

Bayard :

"Monsieur, il n'y a point de pitié en moi, car je meurs en homme de bien"

François Ier :

"Tout est perdu, fors l'honneur"

More :

"Ayez l'obligeance de me donner la main pour monter, car pour descendre, je me débrouillerai bien tout seul"

Héraut d'armes :

"Laissez-les aller, ces bons combattants"

Marie Tudor :

"Si on ouvrait mon coeur, on y trouverait gravé le nom de Calais"

Jeanne d'Albret :

"Il va mourir, c'était écrit"

Louis de Bourbon, Prince de Condé :

"Vous vous souviendrez en quel état Louis de Bourbon est entré au combat pour Christ et pour sa patrie"

Henri III :

"Il est plus grand mort que vivant"

Henri IV :

"Ralliez-vous à mon panache blanc"

"Paris vaut bien une messe"

"C'est un peuple : si mon pire ennemi était là où je suis et qu'il le vît passer, il lui en ferait autant qu'à moi"

"C'est assez faire le roi de France, il est temps de faire le roi de Navarre"

Sully :

"Labourage et pâturage sont les deux mamelles de la France"

Nicolas Brûlart de Sillery :

"Les Rois ne meurent pas en France. Voilà le Roi vivant, Madame"

Agrippa d'Aubigné :

"Ce roi, non juste roi, mais juste arquebusier"

Comte de Lude :

"Un navire à l'ancre n'a pas besoin de voile"

Marie de Médicis :

"Si on ne veut pas lui dire la nouvelle, qu'on la lui chante"

Catherine-Henriette de Vendôme :

"Sire, faites, vous aussi, la même chose avec la Reine, et bien vous ferez"

Elizabeth de Vendôme :

"Monsieur mon père, si vous eussiez eu cette volonté, vous n'eussiez pas quitté le lieu où il fallait le faire"

Louis XIII :

"Je ne sais pas envoyer mes soldats à la boucherie, je ne sais que les y conduire moi-même"

"Sachez que le plus grand honneur que vous ayez au monde, c'est d'être mon frère"

"C'est assez que c'est moi qui le veux"

"Je ne serais pas Roi si j'avais les sentiments des particuliers"

"Vive mon peuple !"

Cardinal de Richelieu :

"En la voie de l'honneur et de la gloire, ne s'avancer pas et ne s'élever pas, c'est reculer et déchoir"

"Les vaisseaux ennemis n'entreront plus à La Rochelle s'ils ne volent"

"Les ennemis ont donné plus de besogne à votre tailleur qu'à votre chirurgien"

Cardinal de La Valette :

"Qui quitte la partie la perd"

Galillée :

"Et pourtant, elle tourne"

Anne d'Autriche :

"Il y a de la révolte à s'imaginer qu'on puisse se révolter"

Louis XIV :

"L'état c'est moi"

"Il n'y a plus de Pyrénées !"

"Nous avons perdu le père de la patrie"

"Pusqu'il faut faire la guerre, j'aime mieux la faire à mes ennemis qu'à mes enfants"

"S'il eût été condamné à mort, je l'aurais laissé mourir"

Cardinal Mazarin :

"Il faut donc quitter tout cela !"

Colbert :

"Ah ! Quelle pitié que le plus grand Roi soit mesuré à l'aune de Versailles"

Madame de Maintenon :

"Il faut périr en symétrie"

Pontchartrain :

"Toutes les fois que Votre Majesté crée un office, il se trouve un sot pour l'acheter"

Maréchal de Luxembourg :

"Vous m'aviez dit d'attaquer une ville et de livrer une bataille ; j'ai pris l'une et j'ai gagné l'autre"

Guillaume III d'Orange :

"Ayant fait un traité pour éviter la guerre, je n'entends pas faire la guerre pour exécuter un traité"

Maréchal de Villars :

"Si Dieu nous fait la grâce de perdre encore une pareille bataille, Votre Majesté peut compter que ses ennemis seront détruits"

Louis XV :

"Le sang de nos ennemis est toujours le sang des hommes"

Choiseul :

"Vous conviendrez au moins, Madame, qu’ils savent faire de beaux enfants"

Comte d'Auteroche :

"Messieurs les Anglais, tirez les premiers"

La Pompadour :

"Après nous, le déluge"

Sieyès :

"Ils veulent être libres et ils ne savent pas être justes"

"Qu'est-ce que le Tiers-Etat ? Tout.
Qu'a-t-il été jusque-là dans l'ordre politique ? Rien.
Que demande-t-il ? A être quelque chose"

Mirabeau :

"Allez dire à votre maître que nous sommes là par la volonté du peuple, et que nous n'en sortirons que par la force des baïonnettes"

Duc de Liancourt :

"Non, Sire, c'est une révolution"

Marie-Antoinette :

"S'ils n'ont pas de pain, qu'ils mangent de la brioche"

Robespierre :

"Périssent les colonies plutôt qu'un principe"

Olympe de Gouges :

"La femme a le droit de monter à l'échafaud ; elle doit avoir le droit également de monter à la tribune"

Lamourette :

"Foudroyons et la République et les deux chambres !"

La Rochejacquelein :

"Allons chercher l'ennemi : si je recule, tuez-moi ; si j'avance, suivez-moi ; si je meurs, vengez-moi"

Danton :

"De l'audace, encore de l'audace, toujours de l'audace"

"Tu montreras ma tête au peuple, elle en vaut la peine"

Goethe :

"De ce lieu et de ce jour date une nouvelle époque dans l'histoire du monde"

Louis XVI :

"Je meurs innocent, je pardonne à tous mes ennemis"

"Il n'y a plus de roi en France"

Bara :

"Vive la république !"

Mme Roland :

"O liberté, que de crimes on commet en ton nom"

Joachim Murat :

"Foutez-moi tout ce monde-là dehors !!"

Napoléon :

"Du haut de ces pyramides, quarante siècles vous contemplent"

"C'est avec des hochets que l'on mène les hommes"

"Soldats, je suis content de vous"

"Vous êtes de la merde dans un bas de soie"

"J'ai donc sacrifié tous nos intérêts à ceux de la patrie ; je pars"

"Impossible n'est pas français"

"L'Aigle, avec les couleurs nationales, volera de clocher en clocher jusqu'aux tours de Notre-Dame"

"Voilà le soleil d'Austerlitz"

Fouché :

"C'est pire qu'un crime, c'est une faute"

Augereau :

"Lâches, craignez-vous donc autant la mort ?"

Duc de Levis :

"Noblesse oblige"

Duc d'Enghien :

"Qu'il est affreux de mourir ainsi de la main des Français"

Nelson :

"Dieu merci, j'ai fait mon devoir ! A boire..."

Pie VII :

"Commediante ! Tragediante !"

Poniatowski :

"Il faut savoir mourir en brave"

Cambronne :

"La garde meurt mais ne se rend pas"

Daumesnil :

"Je rendrai Vincennes quand on me rendra ma jambe"

Talleyrand :

"Ils n'ont rien appris, ni rien oublié"

"Ne me faites pas rire !"

"C'est le commencement de la fin"

"M. de Chateaubriand se croit sourd depuis qu'il n'entend plus parler de lui"

Ney :

"Soldats, droit au coeur !"

Louis XVIII :

"Est-ce que j'ai jamais cessé de l'être ?"

"Madame, quand on meurt, on ne sait pas très bien ce qu'on fait"

"Fils de Saint-Louis, je saurai, à son exemple, me respecter jusque dans les fers"

Chabrol :

"Sire, cent jours se sont écoulés depuis le moment fatal de Votre Majesté"

Duc de Richelieu :

"L'estime de mon pays, la bonté du Roi et le témoignage de ma conscience me suffisent"

Duc de Berry :

"Ah ! Il est cruel de mourir de la main d'un Français !"

Charles X :

"Je ne me laisserai pas couper le cou comme Louis XVI"

"Ah non ! Aujourd'hui, on s'embrasse"

Polignac :

"Eh bien, qu'on tire sur la troupe !"

Thiers :

"L'obéissance cesse d'être un devoir"

Marquis de La Fayette :

"Voilà la meilleure des Républiques"

Louis-Philippe :

"Je me suis dévoué"

Sébastiani :

"L'ordre règne à Varsovie"

Changarnier :

"Soldats, ils sont 6000, vous êtes 300. La partie est donc égale. Regardez-les en face et tirez juste"

Lamartine :

"Le drapeau tricolore a fait le tour du monde, avec le nom, la gloire et la liberté de la patrie"

Marquis de Pastoret :

"Aux grands hommes, la patrie reconnaissante"

Napoléon III :

"Hélas si ! J'ai sa famille"

"Colonel, vous venez de m'empêcher de mourir !"

Monsieur de Morny :

"Madame, s'il y avait un coup de balai, croyez que je serai du côté du manche"

Baudin :

"Vous allez voir comment on meurt pour 25 francs par jour"

Hugo :

"Et s'il n'en reste qu'un, je serai celui-là"

"Soudain, joyeux, il dit : Grouchy ! c'était Blücher..."

Mac Mahon :

"J'y suis, j'y reste !"

"Que d'eau, que d'eau !"

"La typhoïde, je l'ai eue. On en meurt ou on en reste idiot"

Bismarck :

"Nous n'irons pas à Canossa"

Gambetta :

"Le cléricalisme, voilà l'ennemi"

"Il faut se soumettre ou se démettre"

Emile Zola :

"La vérité est en marche ; rien ne peut plus l'arrêter"

Clémenceau :

"La guerre, c'est une chose trop grave pour la confier à des militaires"

Lyautey :

"Il faut montrer sa force pour ne pas avoir à s'en servir"

Foch :

"Mon centre cède, ma droite recule, situation excellente, j'attaque"

Péricard :

"Debout les morts !"

Stanton :

"La Fayette, nous voilà"

Deschanel :

"Mon ami, je vais vous étonner, je suis le président de la République"

Staline :

"Le pape ! Combien de divisions ?"

La Pasionaria :

"No pasaran !"

Churchill :

"Je n'ai rien d'autre à offrir que du sang, de la peine, des larmes et de la sueur"

"Nous avons subi une défaite sans avoir la guerre..."

"Les pauvres, ils me font confiance, et je ne peux rien leur apporter"

"Et nous les frapperons à la tête avec des bouteilles de bière, car c'est là tout ce que nous possédons vraiment"

"Jamais dans le domaine de la guerre tant d'hommes n'avaient eu une telle dette à l'égard d'un si petit nombre d'individus"

Reynaud :

"La route du fer est définitivement coupée"

Eisenhower :

"La modestie doit être la réaction naturelle de l'homme qui reçoit les acclamations que lui ont valu le sang versé par ses subordonnés et le sacrifice de ses amis"

De Gaulle :

"La France a perdu une bataille ! Mais la France n'a pas perdu la guerre !"

"Eh bien ! Ils ont eu tort"

"Paris ! Paris outragé ! Paris brisé ! Paris martyrisé ! mais Paris libéré !"

"Je n'imagine pas Jeanne d'Arc mariée, mère de famille et, qui sait, trompée par son mari"

"Vous êtes un homme politique. C'est bien. Il en faut. Mais, en certaines circonstances, les hommes politiques doivent savoir se hausser au niveau des hommes d'état"

"Ce pouvoir a une apparence : un quarteron de généraux en retraite"

"Bien sûr, on peut sauter sur sa chaise en disant : « L’Europe ! l’Europe ! l’Europe ! » mais cela n’aboutit à rien et cela ne signifie rien"

"Vive le Québec libre !"

"La réforme oui, la chienlit, non !"

"Nous avons battu les Allemands, nous avons écrasé Vichy, nous avons empêché les Communistes de prendre le pouvoir et l'OAS de détruire la République. Nous n'avons pas pu apprendre à la bourgeoisie le sens national"

"Malheureusement, les Français ne sont pas toujours la France"

Golda Meir :

"Si pressés, dites-vous, mais nous avons attendu 2000 ans"

Einstein :

"Si c'était à refaire, je me ferais plombier"

Yvonne de Gaulle :

"J’espère que les poulets n’ont rien"

Kennedy :

"Ne demandez pas à votre pays ce qu'il peut faire pour vous, mais plutôt ce que vous pouvez faire pour votre pays"

"Ich bin ein Berliner !"

Robert Kennedy :

"Certaines personnes voient la réalité et disent "pourquoi" ? Moi je rêve à l`impossible et je dis "pourquoi pas" ?"

Giscard :

"SVous n'avez pas le monopole du coeur"

Léotard :

"Le jour de la chute de Dien Bien Phu, j’avais treize ans, et j’ai pleuré"

Mitterrand :

"A tous, la France dit : Courage, la liberté vaincra"

"On attendait plutôt qu’il nous présente ses excuses"

"Quand on doit faire les choses, la bonne date, c'est toujours maintenant"

"Si je ne devais recevoir que des parangons de vertu, j'aurais beaucoup de temps libre"

Voici un moteur de recherche qui vous permettra d'éxécuter une recherche sur ce site,
à partir d'un ou plusieurs mots.

Si cette page vous a plu, merci de voter pour elle sur Mondetop ;
ce n'est pas seulement pour flatter mon ego, mais pour la faire connaître au plus grand nombre ;
cliquez sur la bannière ci-dessous pour voter.

Coup de pouce

V. Daucourt